La recommandation faite à Kiev de mener l'opération militaire dans l'est de l'Ukraine selon les "normes internationales" peut être considérée comme un feu vert à poursuivre l'escalade du conflit, a déclaré mercredi le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch en commentant un nouveau rapport du Haut-Commissariat de l'Onu aux droits de l'homme (HCDH).
"Ce qui indigne le plus, c'est la recommandation hypocrite donnée aux autorités ukrainiennes d'effectuer leur opération antiterroriste «conformément aux normes internationales». Il s'agit de facto d'une autorisation à poursuivre le massacre de civils et l'escalade du conflit", lit-on dans le communiqué de M. Loukachevitch mis en ligne sur le site du ministère russe des Affaires étrangères.
MAE Hellénique, 17/3/14
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Nous vous communiquons ci-dessous le texte de l'intervention
d'aujourd'hui du vice-Premier ministre et ministre des Affaires
étrangères sur l'Ukraine lors du Conseil des Affaires étrangères tenu
aujourd'hui à Bruxelles:
«Notre réaction d'aujourd'hui, un jour
après le référendum en Crimée, est facile et presque automatique. La
politique européenne doit être toujours axée sur des principes.
L'intégrité territoriale et le respect des frontières existantes sont le
fondement du statu quo, de l'ordre légal international, de la paix et
de la stabilité dans le monde entier.
After two deadly suicide bombs in two days in Russia's Volgograd, the
International Olympic Committee president has voiced confidence Russian
authorities will deliver "safe and secure" Games in Sochi.
Thomas
Bach wrote to President Vladimir Putin to express condolences for the
two deadly attacks that struck Volgograd within 24 hours.
In his
letter to Putin, Bach said he was "certain that everything will be done
to ensure the security of the athletes and all the participants of the
Olympic Games", which open on 7 February.
Le Traité de paix et les relations bilatérales russo-japonaises a été
lundi au centre d'une rencontre du président russe Vladimir Poutine
avec le premier ministre nippon Shinzo Abe à Bali, en Indonésie, a
annoncé le porte-parole du président russe Dmitri Peskov.
"La formule japonaise "pas de vainqueur, pas de vaincu" serait la
meilleure base philosophique pour régler le problème du Traité de paix,
les deux pays l'ont déjà reconnu au forum de Saint-Pétersbourg. Cette
fois, les parties ont de nouveau confirmé que c'était la meilleure
approche du problème. A présent, il faut trouver le moyen de
l'appliquer", a indiqué le porte-parole devant les journalistes.
"La rencontre s'est déroulée dans une ambiance très positive, elle a
permis d'évoquer un large éventail de questions bilatérales", a-t-il
ajouté.
Par Francetv info avec AFP et Reuters
Le régime de Damas a-t-il eu recours à des armes chimiques lors d'un bombardement qui a fait près de 1 300 morts, mercredi 21 août ? Pour l'instant, la situation reste floue. La communauté internationale ainsi que les organisations de défense des droits de l'Homme réclament que les experts de l'ONU présents en Syrie vérifient sur place les accusations de l'opposition. Les dirigeants internationaux font preuve d'une prudence plus ou moins grande. Francetv info vous résume les positions des uns et des autres.
Ce que disent les médecins
Deux gigantesques projets de barrage hydroélectrique divisent les cinq États postsoviétiques de la région. La Russie se tient en embuscade et attise les tensions.
Il fait froid cet hiver à Bichkek, jusqu'à -24 degrés. Et parce que le Kazakhstan
voisin a réduit ses livraisons de gaz, certains quartiers de la
capitale kirghize se retrouvent privés de chauffage. À quelques
encablures de là, les habitants de Douchanbe, la capitale du
Tadjikistan, risquent de connaitre les mêmes pénuries, l'Ouzbékistan
ayant menacé le 25 décembre de suspendre -une nouvelle fois- ses
approvisionnements d'or bleu.
Un recours aux armes chimiques constituerait un "suicide politique" pour le régime syrien de Bachar al-Assad,
a estimé le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans
un entretien diffusé lundi 24 décembre par la chaîne Russia Today[1].
"Je ne pense pas que la Syrie se serve d'armes chimiques. Si c'est le
cas, cela constituera un suicide politique du gouvernement", a déclaré
le chef de la diplomatie sur la chaîne russe en langue anglaise. "Chaque
fois que nous parviennent des rumeurs ou des informations qui indiquent
que les Syriens font usage d'armes chimiques, nous les vérifions deux
ou trois fois, nous nous adressons au gouvernement, et à chaque fois on
nous assure fermement qu'ils ne le feront pas quelles que soient les
circonstances", a-t-il ajouté.