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Friday 17 January 2014

Syria gives Russia ceasefire plan for Aleppo

Syria has handed Russia plans for a ceasefire in Syria’s biggest city, Aleppo, and was ready to exchange lists with rebel forces on a possible prisoner swap, its foreign minister Walid Muallem told a joint news conference in Moscow with Russian counterpart Sergei Lavrov before a planned peace conference on Syria in Switzerland next week
“I count on the success of this plan if all sides carry out their obligations,” Reuters quoted Muallem as saying following talks with Lavrov.
“We would like this to serve as an example to other towns,” Muallem said of the plan for Aleppo.

The Syrian rebels backed by Washington have agreed that if the government commits to such a partial ceasefire, they would abide by it, Washington has said.
Muallem also said that Damascus is in favor to exchange prisoners.
“I informed (Russian Foreign Minister Sergei) Lavrov of our principled position in favor of an agreement to exchange those held in Syrian prisons for those taken by the other side,” he said.

“We are ready to exchange lists and develop the necessary mechanism for accomplishing these goals,” he added.

Washington and Moscow have been trying to negotiate some confidence-building measures and allow humanitarian aid to flow in the nearly three-year-old civil war.

Meanwhile, grisly images emerged from the Palestinian Yarmouk camp in southern Damascus showing bodies of people killed because of hunger or others who suffered acute starvation.
But Muallem denied that Damascus has besieged or attacked the camp.

Syria wants political solution

The Syrian foreign minister said that Damascus “wants a political solution” for the conflict that killed more than 100,000 people and displaced millions.
While Syrian government sent a letter to the United Nations on Thursday confirming attendance of the Geneva talks, it is not clear if the Syrian opposition will join the peace talks.
On Friday, the main opposition group abroad, the Syrian National Coalition, will meet in Istanbul to decide if it will participate in Geneva.
(With Reuters and AFP)
 http://english.alarabiya.net/en/News/middle-east/2014/01/17/Syria-gives-Russia-ceasefire-plan-in-Aleppo.html
17/1/14
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  • Le pouvoir syrien se dit prêt à une série d'avancées humanitaires

Le pouvoir syrien est prêt à prendre une série de mesures humanitaires pour faciliter la situation dans le pays en conflit et à échanger des prisonniers avec les rebelles, ont affirmé vendredi les chefs de la diplomatie russe et syrienne à Moscou. L'opposition syrienne en exil, divisée et sous la pression de ses parrains occidentaux et arabes, se réunit de son côté ce vendredi à Istanbul pour décider de sa participation à la conférence de paix de Genève II.
A cinq jours du coup d'envoi du rendez-vous diplomatique imposé par la Russie et les Etats-Unis, les délégués de la Coalition de l'opposition doivent engager leurs discussions à 14h00 dans le strict huis clos d'un hôtel de la lointaine banlieue stambouliote, a-t-on appris auprès d'un de leurs porte-parole.
Le débat, déjà mis entre parenthèses il y a dix jours, s'annonce long et difficile, tant les membres de l'opposition modérée au président Bachar al-Assad sont divisés sur l'opportunité de s'asseoir à la même table que ses représentants. "Prendre une décision de participer ou non à cette conférence n'est pas facile", a concédé à l'AFP Munzer Aqbiq, le conseiller du président de la Coalition Ahmad Jarba. "Le droit, la justice, le bien et le mal sont parfaitement identifiés dans le dossier syrien, alors faire des compromis sera douloureux", a-t-il anticipé.
En novembre dernier, la Coalition avait posé une série de conditions très strictes à sa participation à la conférence qui doit s'ouvrir mercredi prochain à Montreux (Suisse).
Sur le plan politique, elle a exigé notamment que les discussions se déroulent "sur la base d'un transfert intégral" du pouvoir et que le président Assad "et ceux qui ont du sang sur les mains ne jouent aucun rôle" dans la transition. Et sur le terrain, elle a également demandé un cessez-le-feu pendant les négociations, ainsi que des "couloirs humanitaires" permettant d'évacuer les blessés.
Ses exigences politiques ont d'ores et déjà été rejetées par Damas, qui a répété qu'il n'irait pas à Genève "pour remettre le pouvoir à qui que ce soit ni faire de transactions avec qui que soit", et qu'il revenait à Bachar al-Assad de mener la transition.
Sous l'influence de son fidèle soutien russe, le régime s'est toutefois dit prêt vendredi à prendre une série de mesures "humanitaires" qui répondent aux requêtes de l'opposition. A l'issue d'une rencontre avec son homologue syrien Walid Mouallem à Moscou, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a évoqué la livraison de "cargaisons humanitaires" dans plusieurs régions,notamment autour d'Alep et Damas.

Assurances et réassurances
"J'ai informé le ministre Lavrov que nous étions prêts à échanger des détenus contre des prisonniers capturés par le camp adverse", a pour sa part annoncé Walid Mouallem. Sans évoquer un "cessez-le-feu", le Syrien a également évoqué un plan prévoyant "l'arrêt de toutes les actions militaires" dans la région d'Alep.
Conscients des réticences de plus en plus fortes qui l'animent, les parrains occidentaux et arabes de l'opposition ont multiplié ces derniers jours les assurances et les pressions pour les convaincre de participer à la conférence, condition sine qua non de sa crédibilité.
Jeudi soir encore, le secrétaire d’État américain John Kerry a une nouvelle fois exhorté la Coalition à faire le voyage en Suisse en lui assurant qu'il ne saurait être question d'y accorder le moindre avenir politique à Bachar al-Assad.
Dimanche à Paris, le président de la Coalition Ahmad Jarba avait publiquement évoqué ses "inquiétudes", "doutes" et "craintes" quant à l'issue de la conférence.
En coulisses, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, ont été plus directs, en menaçant directement de lui couper les vivres en cas de refus, selon des médias britanniques.
"La Coalition est prise entre deux feux. D’une part les injonctions à participer des +amis de la Syrie+, de l’autre ses membres qui refusent car ils estiment qu’ils ont trop à perdre", a résumé un diplomate occidental. "On peut s’attendre au final à ce que la Coalition envoie une délégation à Genève, mais à quel prix pour son avenir ?", a-t-il demandé.
La conférence de Genève II doit tenter de trouver une solution politique susceptible de mettre fin à la guerre civile en Syrie, qui a fait plus de 130.000 morts et des millions de réfugiés et déplacés depuis mars 2011. Vendredi, le Haut-commissaire aux réfugiés de l'ONU Antonio Guterres a exhorté les partie au conflit à accoucher rapidement de cette solution. "Il est absolument indispensable de mettre un terme à ce bain de sang", a-t-il dit.
AFP
 http://www.rtbf.be/info/monde/detail_le-pouvoir-syrien-se-dit-pret-a-une-serie-d-avancees-humanitaires?id=8178199
17/1/14

1 comment:

  1. Syria offers Aleppo truce as rebels argue over talks...

    (Reuters) - The Syrian government, preparing for peace talks with rebels next week, handed the Russian co-sponsors of the conference a proposal on Friday for a local ceasefire and an exchange of prisoners.

    There was no immediate response from President Bashar al-Assad's opponents, whose very attendance at the talks due to start on Wednesday in Switzerland remained in doubt - prompting a last-minute appeal to them from the United States.

    Syrian Foreign Minister Walid al-Moualem, on a visit to Moscow, said he had given Russian officials a plan for a truce in Aleppo, Syria's biggest city, and said the government was ready to exchange lists of prisoners to be swapped.

    Moscow and Washington, favoring opposing sides, respectively for and against Assad, have urged both parties to make concessions, including ceasefires, access for aid and prisoner exchanges, to build confidence before the conference.

    But there is little sign of coherent negotiating positions or of violence abating. Rebels are fighting each other, in battles involving Islamist militants whose influence has cooled Western support for the uprising. Assad's forces, once reeling, have recovered and have been bolstered lately by new Russian arms and supplies, sources have told Reuters.

    Most of the disparate rebel forces fighting inside Syria have dismissed the negotiations, known as Geneva-2, and exile opposition leaders backed by Western and Arab powers met in Turkey to decide whether to take part. It remained unclear how or when they would reach a final decision, however.

    U.S. APPEALS TO REBELS

    The United States, the co-sponsor with Russia, issued an 11th-hour appeal to Assad's opponents to participate in the first direct peace negotiations in nearly three years to end a civil war that has killed over 100,000, driven millions from their homes and inflamed tensions across the region and beyond.

    The Syrian National Coalition, a fractious 120-member body, has already seen some of its members declare their hostility to joining the talks at Montreux - many for fear it will undermine their credibility at home to engage in a process they see as having little chance of forcing Assad to step down.

    "The United States ... urges a positive vote," U.S. Secretary of State John Kerry said of the SNC on Thursday.

    "The Geneva peace conference is not the end but rather the beginning, the launch of a process ... that is the best opportunity for the opposition to achieve the goals of the Syrian people and the revolution."

    Kerry also poured scorn on "revisionism" from Damascus, which has made clear it rejects rebel and Western demands that Assad make way for a transitional leadership and has suggested talks focus on cooperation against "terrorism" - code for the Islamists, including al Qaeda, that dominate on the frontlines.

    "Syria ... is the strongest magnet for terror of any place today," Kerry said. "It defies logic to imagine that those whose brutality created this magnet ... could ever lead Syria away from extremism and towards a better future."

    Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, at a news conference with Moualem on Friday, criticized the Syrian opposition for its delay in agreeing to take part: "It worries us very much that some kind of game is being played," he said.

    ALEPPO TRUCE PROPOSAL

    Moualem said the proposals from Syria could ease the conflict: "We would like this to serve as an example to other towns," he said of the ceasefire plan for Aleppo...............http://www.reuters.com/article/2014/01/17/us-syria-crisis-idUSBREA0G0U420140117?feedType=RSS&feedName=worldNews
    17/1/14

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